Carnet de bord : Mission 008
TOULON – SALVADOR DE BAHIA – TOULON



Jeudi 14 avril 2023
Toulon

Mardi 11 avril 2023
Toulon
Acheter le poivre noir de Bahia sur notre campagne Ulule

Vendredi 3 mars 2023
Marseille
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Vendredi 3 mars 2023
Marseille



Jeudi 2 mars 2023
Barcelone - Marseille

Mercredi 01 mars 2023
Barcelone - Marseille






Vendredi 24 février 2023
Madère - Toulon

Jeudi 23 février 2023
Madère - Toulon

Mercredi 22 février 2023
Madère - Toulon

Mardi 21 février 2023
Madère - Toulon

Dimanche 19 février 2023
Madère - Toulon

Vendredi 17 février 2023
Madère - Toulon

Mardi 14 février 2023
Quinta do Lorde - Madère

Lundi 13 février 2023
Cap Vert – Madère

Dimanche 12 février 2023
Cap Vert – Madère

Samedi 11 février 2023
Cap Vert – Madère

Mercredi 8 février 2023
Cap Vert – Madère

Mardi 7 février 2023
Cap Vert - Madère

Lundi 6 février 2023
Cap Vert – Madère

Dimanche 5 février 2023
Cap Vert – Madère

Samedi 4 février 2023
Cap Vert – Madère

Vendredi 3 février 2023
Cap Vert – Madère

Jeudi 2 février 2023
Cap Vert - Madère

Dimanche 25 décembre 2022
Recife - Cap Vert en images :
Après s’être fait rattraper par le pot au noir, le bateau a continué sa route plein nord, sous voile et avec vent contraire. Finalement, le souffle d’Eole nous fait arriver le 25 décembre au Cap Vert.

Samedi 24 décembre 2022
Recife - Cap Vert
Nous passons des festivités originales à bord de Terre Exotique. Nous pouvons deviner les îles du Cap Vert que l'on atteindra bientôt, non sans difficulté, avec un vent défavorable. Joyeux Noël et bonnes fêtes de fin d'année !
Mercredi 14 décembre 2022
Recife - Cap Vert

Lundi 12 décembre 2022
Recife




Jeudi 8 décembre 2022


Samedi 26 novembre 2022


Vendredi 25 novembre 2022
Salvador de Bahia.

Jeudi 24 novembre 2022
Salvador de Bahia.


Samedi 19 novembre 2022

Mercredi 9 novembre


Jeudi 3 novembre
Le lendemain de notre rencontre impromptue avec ce voilier battant pavillon brésilien, marchant tribord amure (le vent vient de notre droite), pour un long bord au 250° qui nous mène au nord des Canaries, Terre Exotique prend des airs de ménagerie.


Mardi 1e novembre
Un voilier de 40 pieds montre le bout de son nez. Il navigue à la voile plus vite que nous. Fred fait des bonds sur le pont et menace de rentrer à la nage s’il nous rattrape ! Je lui dis qu’il triche avec, certainement, un moteur en plus de la voile. On sait tous les deux qu’il ne peut pas être qu’à la voile… En début d’après-midi, je reçois un appel VHF de ce voilier qui demande l’autorisation de venir proche de nous pour admirer « le joli voilier de course ». Je réponds : « bien sûr ». Nous, à la voile, presque à l’arrêt, eux, à la voile et au moteur, le bateau se met sur notre bâbord à une trentaine de mètres. Un des équipiers est français et la discussion s’amorce. Nous apprenons qu’ils viennent de Lisbonne, où ils sont restés trois semaines pour attendre une météo favorable et vont au Canaries pour remettre le bateau à son nouveau propriétaire. Anecdote amusante ; un pavillon brésilien flotte sur le 40 pieds, le skipper est de Salvador ; notre destination. Après quelques minutes d’échange, le vent se lève et Terre Exotique s’élance. Nous distançons rapidement nos copains qui se placent dans notre sillage. Une nouvelle nuit s’annonce avec du vent faible à venir. L’équipage

Dimanche 30 octobre
Terre Exotique appareille de Gibraltar en début d’après-midi. La météo s’annonce bonne pour les 24 premières heures ; avec un vent d’est entre 10 et 15 nœuds et des rafales à 22. Nous tirons un premier bord en direction de l’Afrique, puis empannons au 295° pour un décollage « immédiat ». Le vent forcit : 17, 20, 22 nœuds et rafales à 25, 27. GV haute, génois, ballasts au vent, Terre Exotique accélère, posé sur un rail ; On avance à 12, 13, 16 nœuds et plus sur des surfs. Dans ma bannette, je sens le bateau vibrer, il nous parle. Il pointe du nez ; j’imagine très bien des gerbes d’eau à l’étrave, lécher le balcon avant. C’est pour ce genre de sensation qu’on fait de la voile… Début de matinée, le vent faiblit comme prévu. On empanne vers midi et mettons cap à l’ouest. Un long bord qui nous écarte de la côte avant d’empanner à nouveau et naviguer plein sud. La pétole nous rattrape ; nous marchons entre 4 et 6 nœuds, parfois même au moteur. On en profite pour évaluer finement la consommation de « John John », car nous n’avons que 230 litres de gasoil à bord. L’équipage
Lundi 24 octobre 2022


Vendredi 21 octobre 2022

Mercredi 19 octobre 2022
Terre Exotique appareille à 12h de Mahon sur l’ile de Minorque. Direction Carthagène, à 280 milles plus au sud, pour une escale qui doit nous permettre de terminer la préparation du bateau. Les premières 24h en mer, nous envoyons le petit, puis le grand génaker, et faisons une moyenne autour des 8 nœuds. Nous profitons de ce moment, car nous savons que cela ne va pas durer. Eole va couper le robinet. Effectivement, le vent faiblit et tourne au sud-ouest; nous sommes au près. Fred décide de mettre une ligne de traine à l’eau ; en plaisantant, je lui précise que j’adore la dorade coryphène… Une heure plus tard, touche ! Fred se précipite sur le balcon arrière, serre le frein du moulinet et remonte la ligne à la volée. En une minute, le poisson est sur le pont dans un seau prévu à cet effet. Coïncidence, il s’agit bien d’une dorade coryphène qui arbore des couleurs splendides, du vert, du bleu et du jaune, les couleurs du Brésil… Aussitôt péché, aussitôt préparé pour la manger. Fred fait les filets pendant que je prépare une marinade pour en manger une partie crue ; le plus gros sera cuit à la poêle avec un peu d’huile d’olive. La seconde nuit se déroule sans encombre, à faible allure, au rythme des quarts de nuit, avec une attention certaine aux routes des bateaux que nous croisons. On arrive à la côte, le trafic se densifie. Deux virements de bord sont nécessaires pour entrer dans le port de Carthagène. Un agent de la Marina nous accueille comme convenu, nous montre la place de port et nous prend les amarres. Il est 13h, le vendredi 21 octobre. Au programme des trois prochains jours : matelotage, tournevis et tapas. L’équipage